Media
Ouest France dimanche 21 janvier 2024
Le Télégramme novembre 2022
Ouest France novembre 2022
6 décembre 2020
« Omar Taleb, Lorientais d’Orient, a fait entrer en résonance toute la richesse de cette double culture en créant, il y a dix ans Les Lorientales. Pour marquer l’anniversaire de ce festival, le médecin et musicien sort un livre anniversaire, Quand L’Orient apostrophe Lorient. »
Ouest France 6 décembre 2020
« Omar Taleb, Lorientais d’Orient, a fait entrer en résonance toute la richesse de cette double culture en créant, il y a dix ans Les Lorientales. Pour marquer l’anniversaire de ce festival, le médecin et musicien sort un livre anniversaire, Quand L’Orient apostrophe Lorient. »
Un livre a avoir dans sa bibliothèque
Cécile Mazin - 11.06.2018
Le roman n’en finit décidément pas de convaincre : Prix Comar d’Or,
Prix des cinq continents de la Francophonie, Grand Prix du Roman Métis
et Prix Maghreb de l’ADELF, il reçoit désormais le prix
Lorientales 2018.
« Une écriture toute en finesse, un bijou », indique le jury : « Le choix des abeilles, une idée remarquable, elles deviennent des personnages du roman avec une réelle épaisseur. »
Aux abords de Nawa, village de l’arrière-pays, le Don, apiculteur,
mène une vie d’ascète auprès de ses abeilles, à l’écart de l’actualité.
Pourtant, lorsqu’il découvre les corps mutilés de ses « filles », il
doit se rendre à l’évidence : la marche du monde l’a rattrapé, le
mettant face à un redoutable adversaire.
Pour sauver ce qu’il a de plus cher, il lui faudra conduire son enquête
dans une contrée quelque peu chamboulée par sa toute récente révolution,
et aller chercher la lueur au loin, jusqu’au pays du Soleil-Levant.
En véritable conteur, Yamen Manai dresse avec vivacité et humour le
portrait aigre-doux d’une Tunisie vibrionnante, où les fanatiques de
Dieu ne sont pas à l’abri de Sa foudre. Une fable moderne des plus
savoureuses.
Né en 1980 à Tunis, Yamen Manai vit à Paris. Ingénieur, il travaille sur
les nouvelles technologies de l’information. Son premier roman,
La Marche de l’incertitude (Elyzad poche, 2010), a reçu en Tunisie le prix Comar d’Or, en France le prix des Lycéens Coup de Cœur de Coup de Soleil.
La Sérénade d’Ibrahim Santos (Elyzad, 2011 ; Elyzad poche, 2018) a obtenu le prix Biblioblog et le prix Alain-Fournier.
L’Amas ardent est son troisième roman.
Le Télégramme 10/6/2018
C’est l’écrivain tunisien Yamen Manai qui a reçu le huitième prix littéraire des Lorientales, ce samedi.
Le huitième prix littéraire des Lorientales, version 2018, a
été attribué, ce samedi, au roman « L’amas ardent », de l’écrivain
tunisien Yamen Manai. « Le livre a été élu haut la main au premier tour,
avec huit voix sur 16. Il a largement devancé tous les autres
concurrents. Un livre n’a reçu aucune voix et les trois autres lauréats
se sont partagé les miettes… », a précisé Omar Taleb, le créateur du
festival.
Une fable moderne
En véritable conteur, Yamen Manai dresse, avec vivacité et humour, le
portrait aigre-doux d’un pays vibrionnant, où les fanatiques de Dieu ne
sont pas à l’abri de Sa foudre. Une fable moderne et savoureuse qui a
séduit le jury des Lorientales 2018. Et ravi son président : « C’est la
première fois depuis longtemps qu’un livre qui ne parle pas de guerre
remporte le prix ! », a-t-il lancé, à l’issue du vote.
« C’est
un livre tout en douceur, tout en finesse, tout en fluidité. C’est un
conte, une fable qui peut parler à tout le monde, même aux jeunes de 15
ans. Le livre offre un parallèle entre les frelons asiatiques qui
détruisent les colonies d’abeilles et Daesh qui arrive dans un village…
Avec, en filigrane, une puissance dans les métaphores… Ou comment lutter
contre l’état islamique grâce aux abeilles ! », glisse le responsable,
« fier » également de « couronner un éditeur tunisien. On s’ouvre aux
autres. C’est ça, la philosophie des Lorientales ».
LIVRESHEBDO
L'écrivain tunisien a été à nouveau récompensé pour son roman L'amas ardent, paru aux éditions Elyzad.
Le jury du prix du livre Lorientales 2018 a récompensé, samedi 9 juin, Yamen Manai pour L'amas ardent
(Elyzad, 2017). Ce roman a également reçu l'année dernière le prix des
Cinq continents de la francophonie et le Grand prix du roman métis.
Dans cette fable, l'auteur présente un apiculteur qui mène une existence d'ascète auprès de ses abeilles et loin des hommes aux abords du village de Nawa, le Don.
Un matin, il retrouve les corps mutilés et sans vie de ses insectes
dans leur ruche. Rattrapé par le monde extérieur, il doit renouer avec
ses congénères pour comprendre.
Le jury a relevé "une écriture toute en finesse, un bijou", "un thriller apicole avec une pression qui monte, tout en douceur".
Le prix Lorientales est remis par l'association du même nom, basée à
Lorient, et qui a pour objectif de faire connaître l'Orient et de
"développer la connaissance et la compréhension du monde arabe et
oriental, sa langue, ses civilisations, ses valeurs culturelles".
En 2017, le prix Lorientales a été attribué à Susan Abulhawa pour Le bleu entre le ciel et la mer, paru chez Denoël.
Lauréat du prix du livre Lorientales 2018
http://www.letelegramme.fr/morbihan/lorient/lorientales-2018-l-amas-ardent-du-tunisien-yamen-manai-prime-10-06-2018-11988685.php
Page(s):
1
2
3
4